Le siège d'Osgiliath

Voyant la difficulté dans laquelle s'était embarqué Arador, et voyant le warg partir avec mon ami sur le dos, je saisis mon arc et une flèche, et tirai dans la jambe du warg, en faisant attention à ne pas tirer sur Arador.
Le warg chancela un bon coup, puis repartit.
Je lui tirai donc une deuxième flèche dans l'autre jambe inférieure.

Je vis avec joie que mon ennemi s'écroula de fatigue, et ne pouvais plus bouger.
Je le chargeai donc, pendant qu'Alucard s'occupait des autres wargs, et lui coupai la tête d'un coup bref d'épée.
Mais il restait encore le chevaucheur à abattre.

Heureusement pour Arador et moi-même, il fut projeté en avant quand le warg était tombé la tête la première sur le sol.
Je pus donc lui trancher la tête, avant de saisir Arador, dans le but de le porter et de l'amener en lieu sûr.

Mais, par manque de chance, deux wargs me poursuivaient à ce moment là.
Etant plus rapides que moi, je pouvais constater qu'ils seraient bientôt à ma hauteur.
Je laissai donc Arador au sol, en vue d'Alucard, qui était donc censé le protéger à ce moment-là, car il en avait fini avec ses ennemis qui rôdaient autour de lui.

De façon à me protéger de ces deux créatures qui me chargeaient, je bougeai mon épée autour de moi de toutes mes forces, de façon à créer une sorte de bouclier nuisible pour mes ennemis.
A force de continuer cette action à répétition, je finis par constater que mon armure était remplie de sang, et que deux wargs défigurés gisaient à mes pieds.

Cependant, leur charge m'avait quelque peu affaibli ( -20 PV ), et leurs montures étaient encore en vie.
Mais il s'agissait là de deux misérables Orcs que je tuai sans grande difficulté, avant de porter Arador, dans le but de trouver une personne capable de m'indiquer un endroit propice à une guérison, car, s'il était encore vivant, il était très affaibli.

Je me "réveilla" et réussit a dire a Cheu :
"Ma jam...ma jambe.."
Cheu l'examina et vut quil y avait une blessure grave...
Du sang coulait et s'il ne m'enmenait pas bientot dans un endroit sur je devrais mourir vider de tout mon sang...
Et je li dit une derniere phrase avant de retomber dans le "coma":
"La mai..son de guéri..guérison..."

Je vis qu'Arador était dans un état critique, et après qu'il me le dise, je pus bel et bien observer une blessure béante qui vidait sa jambe de tout son sang.

" Eh merde ! Sa jambe est dans un sale état ! "

Heureusement, les wargs nous avaient perdus de vue depuis un petit moment.
Je pus donc me concentrer à la "guérison" partielle d'Arador.
Ayant sur moi un linge, je le pris, et couvris la plaie avec, l'accrochant à la jambe d'Arador, à l'aide de corde que je pus trouver dans les affaires de ce dernier.

Mais il fallait aussi songer à le soigner, et la maison de guérison de Minas Tirith était, selon moi, trop loin, si l'on prenait en compte l'urgence dans laquelle devait être soigné Arador.

Conscient que ma place était sur le front de bataille, je criai un bon coup :

" N'y aurait-il pas quelqu'un pour transporter un camarade blessé grièvement dans un camp de soin proche ??? "

Je savais qu'il n'était pas mort. Le petit Orque railleur qui m'avait filé à deux reprises entre les doigts en une seule journée. Il était là, sur un Warg , avec deux camarades, tous les trois tirant à l'arc dans le tas. Cette fois, il ne m'échapperait pas!

Je pourfendais la gueule d'un Warg et me mis à me frayer un chemin dans la mêlée pour quitter le pont afin d'aller régler son compte à cet Orque . A l'occasion, je sauvai un compagnon à terre et sur le point de se faire arracher la tête, en enfonçant mon épée dans le flanc du Warg qui l'attaquait. Mon compagnon put ainsi placer le coup de grâce dans la tête. Je parvins à sortir du pont.

Les trois Orques ne mirent pas longtemps avant de me repérer. Pas étonnant, car je ne faisais pas dans la discrétion : charge vers le trio en hurlant sauvagement. Trois flèches volèrent dans ma direction, mais une se figea dans mon bouclier, une autre passa à côté, et la dernière, après m'avoir manqué de peu, alla bêtement se loger dans un Warg qui combattait dans la mêlée. Les trois Orques se ruèrent vers moi mais je parvins à esquiver la charge en sautant sur la gauche. Je me retrouvai sur le côté d'un Warg à qui je tranchai la patte avant droite. La bête s'effondra en gémissant et en projetant son cavalier à l'avant. Il encaissa quelques coups de pattes des autres Wargs qui s'orientaient vers moi. Je balançai mon épée dans la tête d'un autre Warg qui s'effondra à terre.
Je parvins encore une fois à esquiver la charge d'un autre saut, puis je me dirigeai rapidement vers le cadavre du Warg pour reprendre mon épée.

J'avais par contre un Orque devant moi, tandis que derrière moi arrivaient le premier ennemi mis à terre, suivi de près par l'Orque railleur sur son Warg . Je parai un coup de l'Orque qui me faisait face, et le repoussai avant de mettre un coup dans les dents de l'Orque derrière moi en lui plaçant un coup avec la poignée de mon épée. Celui-ci recula sous le coup et fut bousculé par le Warg de son compagnon. Voyant que le cavalier allait porter un coup, je m'écartai vivement de son chemin, et ce fut son camarade qui encaissa le coup!

*Décidément... Plus besoin de les combattre, ils s'entretuent accidentellement sans arrêt...*

Je ne respectai cependant pas cette pensée, et achevant à terre le second Orque à pied. Puis je me concentrai sur mon véritable adversaire. Sa monture commença à m'attaquer sans plus s'arrêter. Je tentais de me protéger comme je pouvais, mais une grosse pierre traînant malencontreusement par-là me fit trébucher. Concentré sur les attaques du Warg , je n'avais pas fait attention.

Le Warg était à deux doigts de me broyer lorsque...

[Bah je pense qu'on eput continuer ou alors si on l'attent ben on fait une ptite mission HS comme ca non?Pasque ca va etre long...

[Je pensais à un effet à deux balles du genre "Aragorn va se faire défoncer par le Troll lorsque... l'anneau est détruit, donc le Troll se barre!" Ou dans le genre "Denethor va se mettre le feu avec Faramir , lorsque Gandalf arrive !" Sinon c'est vrai, ça le ferait pas si on tue des Orques sans plus s'arrêter...]

[Oui c'est sur mais Elegost et partit combie de temps?Pasque sinon au pire on demande a Elessar qu'il prenne la place d'Elegost et qu'Elegost nous reprendrait tout ca non?]

[Ben c'est justgemnt ca le probleme,et jvais pas attendre detre soigner jusquau 28aout]

[Pour en revenir à la bataille !]

Après avoir décimé les quelques wargs prétencieux qui me faisaient face, je descendit rejoindre mon camardade bléssé et l'autre valide.
Je me proposais de chercher de l'aide pour son acheminement rapide vers un poste de soins le plus proche.

Mais son état étant très critique, il serait difficile de le transporter !

Les wargs étaient quelque peu en déroute, car ils avaient subi de lourdes pertes, causées par les soldats Gondoriens.
Les généraux du Mordor commençaient à avoir quelques doutes quant à leur éclatante victoire, qu'ils avaient prévue depuis le début de la bataille.

De l'autre côté de la rive du fleuve, le général en chef du Mordor commençait à douter de sa puissance.
Il finit enfin par accepter d'envoyer ses bataillons d'Uruk-Haïs au front.

En ce qui concerne le front entre le Gondor et le Mordor, nous pouvons aperçevoir des wargs qui fuient vers les rangs du Mordor, sous la joie des nombreux soldats courageux et téméraires du Gondor, qui n'eurent en fin de compte pas tellement l'occasion de souffler, car ils virent déjà au loin approcher une cinquantaine d'Uruks, l'arme au poing, féroces, et déterminés à forcer les rangs gondoriens, quel qu'en puisse être le prix à payer.
Ces créatures avaient été préalablement préparées à mourir au combat, ce qui ne les effrayaient pas le moins du monde.

Ce fut donc en ce moment précis qu'un grand bataillon venu tout droit du Mordor s'apprêtait à tout ravager sur son passage...

[Bon ben je continue ma petite histoire moi...]

Lorsqu'une flèche atterit dans l'oeil du Warg . La bête commença à rugir et à reculer en se pleignant. Elle reçut une autre flèche dans la gueule, qui lui ôta son dernier souffle de vie. Elegost , entre deux affrontements, m'avait sauvé la vie.

L'Orque tomba à terre, surpris par l'intervention inattendue de mon ami.
Je me remis en position de combat et me dirigeai vers lui.

"Eh oui, tu n'es pas le seul à avoir des amis!"

Sur ces paroles, je tentai de l'achever au sol, mais l'Orque m'esquiva en se relevant à une vitesse incroyable. Je m'attendais à sa fuite par une petite ruelle sur le côté, mais à ma surprise, et à ma satisfaction, celui-ci me fit face.

"Eh bien... Tu ne t'enfuits pas comme à ton habitude ?"

L'Orque prit en main son bouclier qu'il avait accroché à son dos, et se prépara à me recevoir...

"Pfeuh... Pourkoi fuir un omm blessé, et qui sait pas t'nir debout ?!"

Fou de rage, je m'élançai vers mon adversaire en poussant un cri de guerre. Vermine arrogante, je lui ferai ravaler ses insultes!


(Pendant ce temps, un grand bataillon d'Uruk-Haïs arrivait, mais Imrahil ne voyait plus rien d'autre que son ennemi juré actuel...)

Je parvins sur l'Orque en frappant vers sa tête, mais celui-ci évita l'attaque en se déplaçant sur la gauche. Je tentai une attaque destinée à sa gorge, mais il esquiva en reculant.

L'Orque s'apprêtait à contre-attaquer, mais je fus plus rapide, et cette fois mon ennemi ne pouvait esquiver. Il se protégea donc désespéremment derrière son bouclier.

Je frappai à plusieurs reprises sur mon adversaire, qui parvint à résister à la déferlante de coups qui s'abattait sur lui en se protégeant de son bouclier sans plus bouger.

Alors que je m'apprêtai à le destabiliser en le poussant à terre de mon pied, l'Orque sembla se réveiller. Alors que je commençai à lever le pied droit en avançant, celui-ci avança également en me le bloquant de son bouclier et en frappant tout droit pour m'enfoncer son épée dans le ventre. Mes protections ne me protégèrent pas, et sa lame s'enfonça dans mon ventre. Je poussai un cri de douleur tandis que mon adversaire éclatait de rire en enfonçant un peu plus sa lame, mais je m'efforçai de résister à la souffrance en le dégageant de mon autre pied. Mon adversaire tomba et perdit la prise sur son arme en tombant. Elle restait coincée dans mon ventre...

(-30PV)

Après que mon adversaire se soit dégagé alors que j'allais le clouer au sol de mon épée, je me permis de le féliciter.
"Tu... Tu as du talent, je dois l'admettre... D'habitude, les tiens sont fauchés sans que l'on remarque vraiment leur présence! Mais te voici désarmé... Je vais te mettre en pièce!"

L'Orque éclata de rire.

"Désarmé tu dis ?!" Sur ce, il dégaina une dague qu'il avait dans sa botte. "Kontrairement aux omms , qan j'dois m'batr j'y mets les moyens ! Et o fait, t'avais pas un pont à défendr ?"

Je vis enfin les nouveaux arrivants... Des Uruk-Haïs à perte de vue. Que du bonheur, aurais-je pensé dans un meilleur état. Mais je devais admettre que le coup qu'il m'avait placé était très grave... Bon sang, je l'avais tellement sous-estimé... A le voir tout petit, il semblait faible et fragile... Si tout les Orques étaient comme lui, il en serait finit du Gondor ...

"Hé wè ! Tu t'acharnes telmen sur moi q't'en oublies le plus important! Maintnant vous allez tous mourir! Et tu sé coi ? Comme je sais que ta dernière volonté seré de me fèr la peau... Ben rien que pour t'frustrer, j'vais aller taper sur tes copains avec mes copains à moi! Si tu veux la tête du petit Snardat , faudra q'tu viennes l'attraper dans l'tas!"

Sur ce, mon adversaire s'éloigna pour rejoindre ses "copains" Uruk-Haïs ... Au passage, en arrivant près d'eux, il me montra du doigt, et trois d'entre eux se ruèrent dans ma direction.

"Umpf... Pourriture!"

Je n'étais pas au top de ma forme, je devais l'admettre... La lame de l'Orque était encore dans mon corps. Cette blessure me faisait souffrir, et les trois Uruk-Haïs se dirigeaient vers moi à grands pas...

[Pour ceux qui voudraient savoir, c'est à dire personne, j'ai fait le duel en suivant les règles des duels en arène, sauf que je me mettais un -1 pour voir à qui c'est de frapper (affaibli par les blessures) , et ce n'était pas limité à "6PV" pour la blessure.]

Je me "réveilla" et vu Imrahilen mauvaise position j'eu la force de me mettre assis je pris mon arc et avec la force qu'il me resta et la haine envers ces crétures je décocha une flcehe qui transperca un urk dans la tete...
L'uruk tomba a terre je cria:
"Cheu Imrahil et au...aussi e mauvaise postion...Il faut au...ausi l'aidait..."
Je cassa lon arc pour m'en servir de canne et de soutien a ma jambe et je me mit a marcher vers Minas Tirith...
J'avais beaucoup d'espoir...mais je savais que j'y arriveraispresque on me reprendrais au porte et on m'améneraient aux maisons de guérison...

[Ah, ça, pour être en mauvaise posture, je le suis... J'ai plus que 9 PV ! Je me prends une bonne attaque, et s'en est fini de moi...]

Les trois Uruk-Haïs arrivèrent sur moi très rapidement. Je m'étais préparé à les recevoir du mieux que j'avais pu, mais le coup du premier me fit voler en arrière de quelques pas, et mon bouclier manqua de m'échapper. Mon adversaire se précipita vers moi et me plaqua au sol en commençant à m'étrangler. Mais je ne le laissai pas faire, car il ne m'avait pas préalablement désarmé, et je lui fis constater cette erreur grossière en le poignardant de mon épée vers sa gorge. Le monstre s'effondra sur moi mais je m'empressai de le dégager.

Mais déjà les deux autres Uruk-Haïs m'arrivaient dessus. Le premier frappa vers ma tête. Je parai le coup de mon épée, et parvins à résister et à me relever en lui plaçant un coup de bouclier au passage. Son compagnon essaya de frapper à son tour, mais je bloquai son attaque avec plus de succés que au tout début, et je lui enfonçai mon épée dans la poitrine.

Sentant ensuite que le dernier Uruk-Haï m'arrivait dans le dos, je retirai mon épée rapidement en envoyant mon ennemi agonisant à terre de mon pied, et j'arrêtai mon adversaire en pleine course en lui balançant mon épée dans la gorge. Profitant de l'absence d'adversaire, je me retirai cette foutue lame Orque du corps (en déclenchant une belle hémoragie au passage) , et je rangeai la lame. Un trophée, si je parvenai à me survivre... Puis je me dirigeai vers l'Uruk-Haï que j'avais tué en dernier, et je repris mon arme. Il fallait que je retourne au pont, et que quelqu'un me donne une potion très rapidement.

Je devais etre au quart du chemin de Minas Tirith quand je m'évanouit...
Quelques heures plus tard j'étais posés dans un lit et le docteur m'expliquait que j'avais eu de la chance qu'un cavalier solitaire soi passé a cet endroit...

Arador étant parti,je me lançais à la rescousse de Imrahil qui se faisait chargé par trois uruks assez féroce.

Pris de surprise, les trois uruks reculèrent en me voyant arriver vers eux avec colère... Ce laps de temps me permis d'administrer à mon compagnon une potion rohirrim (+30PV).

Puis je me retournais vers nos assaillants pour protéger mon valeureux capitaine !
J'enfonçais rapidement mon épée dans les entrailles de l'abjecte créature de Mordor qui s'effondra bruyamment mais je n'eu pas le temps d'esquiver le coup du deuxième adversaire qui me coupa quelques doigts qui tenaient mon arme et me permis seulement de tenir mon bouclier pour parer les coup de mes adversaires en furie...

Je me servis donc de mon bouclier comme d'une arme improvisée dans le but d'assomer mes opposants,... sans grand succès malheureusement !
J'étais mal partit si le combat continuait comme ça !

[Désolé Alucard , mais ton action est annulée... Les Uruk-Haïs que tu abats pour me protéger, sont déjà morts... Celà dit, au moins, tu perds pas quelques doigts pour l'instant. ]

Dans mon état, je doutais de pouvoir traverser vivant le bataillon d'Uruk-Haï qui venait de s'abattre sur le pont. Six vaillants soldats mordirent la poussière lors de l'impact de la charge, face à deux Uruk-Haïs ... Je pris l'un des arcs Orques et ses flèches. L'arc était étrange. Ce n'était pas au Gondor qu'on en trouvait des comme ça. Qu'il était moche , me dis-je.

Je commençai à tirer quelques flèches dans le tas d'Uuk-Haïs ... Pas besoin de viser, je pointai l'arc vers le tas de guerriers du Mordor , je décochai, et j'étais certain de toucher quelques choses... Au final, deux Uruk-Haïs reçurent des flèches dans la l'épaule et dans la cuisse, et deux autres périrent en recevant des tirs dans la tête, et dans le dos.

Je continuai de tirer, attendant d'avoir une solution pour me sortir de ce pétrin.

Après les orcs, les uruks-haï, et après les uruks, les trolls, et après les trolls et d'autres orcs, des wargs et après les wargs d'autre uruks-haï .... Cette guerre paraissait interminable. Mais pour le moment bien qu'affaiblit le mordor revenait toujours avec de nouvelle vague d'assailants. Tandis qu'au Gondor, on ne perdait pas tellement d'unité, mais on n'étais pas renouvelé en sodats. A cette allure le Gondor courait droit à sa perte. Mais ne se posant pas trop de questions Varamir continuais à tuer les uruks-haï comme ses camarades.

D'ailleurs il coombinait tout ses maitrise pour faire un maximum de dégâts en ne prenant que le moins de coup possible. Il combinait son talent à l'escalade avec celui d'archer, ainsi que le maniement d'épée...Ce qui au final lui permis de passer entre tous les coups mortels des bestiaux, mais il alternait le plus rapidement possible entre épée et arc elf, ses flèches faisait beaucoup de dégats vu la qualité de son arc et des ses flèches.

Le mordor semblait reculer un peu, mais il nous falait du renfort de toute urgence.

J'avais fini par tirer les dernières flèches à ma disposition. Deux autres Uruk-Haïs étaient morts, et un dernier avait une flèche à l'épaule. Les troupes ennemies ne faisaient pas attention à moi, trop occupées à assaillir le pont.

Je me dis que je pourrais "profiter" de mon inutilité de l'instant pour aller chercher mon épée que j'avais perdu dans la bâtisse qui s'était effondrée. Je me dirigeai donc rapidement vers la ruine (rapide, dans la mesure d'un blessé bien entendu)...

Je parvins à la ruine et commença à déblayer vers l'endroit où j'avais perdu l'épée lorsque la bâtisse était encore en état. Et à mon immense satisfaction, je trouvai l'épée en moins d'une minute à dégager les débris!

"Les Dieux sont avec moi!" me dis-je en ramassant Mon Précieux ...

Retrouvant le moral, je décidai de tenter l'impossible : franchir les lignes Uruk-Haïs avec mon épée et dans mon état. Peut-être que dans la mêlée qui s'intensifiait gravement, je parviendrais à ne pas me faire abattre dans les deux secondes qui suivraient mon arrivée...

Pendant ce temps, trois autres fantassins mordaient la poussière sur le pont. L'un d'entre eux était parvenu à achever l'Uruk-Haï que j'avais blessé à l'épaule, mais celà ne l'avait pas empêché à être tranché brutalement.

HRP[désolé de ce retard je n'ai pas pu passer]HRP

Deux brancardier revinrent de l'infirmerie improvisée, ils venaient d'emmener Jolane gravement blessé par deux flèches qui l'avaient atteint au poumon droit. Il était en route pour Minas Tirith sur une charrette tiré par un boeuf rabougri.

Jolane était entre la vie et la mort, puisse les dieux le sortir de ce mauvais pas.

Arador étant sauvé, à première vue, cela faisait un souci de moins.
Mais je n'eus pas le temps de me réjouir, que je vis, au loins, arriver des bataillons d'Uruks tous aussi féroces les uns que les autres.

* Bon, concentrons-nous, et réfléchissons à une stratégie pour en repousser les plus possible, et ce, sans se faire embrocher... *, pensais-je.

Ma première idée fut de sortir mon arc.
J'appliquai donc cette pensée, et tirai quelques cinq flèches dans le groupe d'Uruks en furie, qui détruisaient tout sur leur passage.
Mais, voyant que certains d'entre-eux s'approchaient de moi, je n'eus d'autre solution que de sortir mon épée, et de combattre au corps à corps, ce qui allait s'avérer rude, vu leur taille et leur puissance.

Heureusement, une seule de ces créatures maléfiques vint à moi, ce qui me permit de me concentrer entièrement sur mon adversaire.
Après l'avoir attaqué en premier, ce qui échoua, ce monstre tenta de me décapiter, mais, for heureusement, j'eus le bon réflexe de me baisser, puis de lui enfoncer ma lame dans le ventre, ce qui l'affaiblit, visiblement.
Mais il n'était pas mort pour autant, et toujours en état de combattre.
Il tenta même de me porter un coup dans la tête, ce qui échoua.
Ce fut à ce moment-là que je le décapitai brèvement, avant de m'acharner sur son cadavre en sautant dessus à maintes reprises dans le but de l'écraser contre le sol et de le défigurer.

Puis je pris son arme, qui paraissait bien plus puissante que la mienne, et m'engageai vers la bataille.

Un coup de bouclier dans les côtes me fis sortir de mon état d'ivresse guerrière.

"Nom d'un Balrog !"

Je fis tournoyer ma lame au niveau des têtes ennemies dans l'espoir d'en trancher quelques unes, mais mes adversaires se baissèrent pour éviter ma lame.
Je me fendis et embrocha un petit orque armée d'une faux, recula pour éviter une lance brandis vers moi, saisis celle-ci près de la pointe, la tir violemment vers moi et fis tomber mon adversaire sur le ventre.
J'enfonça mon épée dans sa nuque, et tandis que je reprenais mon souffle, j'aperçus une forme dans le ciel, comme un soleil noir, se rapprocher de non position.
La chose atterit dans l'Anduin, à gauche de notre formation, à une trentaine de mètres du pont.

Un ranger cria :
"Trébuchets !"

Un second projectile frappa le fleuve cette fois à notre droite, à un quinzaine de mètres du pont.

Un troisième boulet faillit heurter le pont, mais tomba dans l'eau quelques mètres plus loin.

Un quatrième tir toucha : un énorme bloc de pierre s'écrasa sur le pont, vers l'arrière de nos positions, et un pan de l'infrastructure s'écroula, entrâinant avec lui trois fantassins ....

"Battez-vous, soldat ! Nous sommes à deux pas de les repousser !"

En effet, ceci n'était pas un mensonge dans le but de motiver nos troupes : bien que diminués, nous avions réussi à entraîner nos ennemis vers l'extrémité est du pont. Si nous réussissons maintenant à couper toute tentative d'intrusion pendant un difficile moment, nos adversaires devraient se replier ...

Enfin, tout cela est bien gentil, mais un cinquième tir de catapulte vient de se réaliser ; le boulet a atteint une portion du pont proche de celle précédemment détruite. Alors qu'un sixième tir atteignait le fleuve sans dégâts, les pierres du pont commencèrent à vibrer .

Les orques, les wargs et le troll blessé présent sur le pont semblèrent s'inquiéter de cet état des choses.
Quand une septième boule fut visible dans l'air, ils battirent subitement en retraite. Le projectile atteint les derniers d'entre eux, écrasant cinq orques mais également un pan du pont, nous empêchant, à moins de contourner le trou en risquant de tomber dans l'Anduin, de rejoindre la rive est.

Le huitième projectile a dû être lancé juste après le septième, car quelque secondes plus tard, un bloc de pierre heurtait quatre guerriers du Gondor.

"Je crois que ça commencer à sentir le roussi ....
On se replie ! On se replie vers la rive ouest !"

Quelques tir de trébuchets atteignèrent l'eau, mais deux autres brisèrent le pont sur toute une largeur, de sorte qu'une partie du pont commençait à céder.
La majorité de nos forces avaient déjà atteint la rive ouest, mais une demi-douzaine d'entres nous risquaient de tomber dans le fleuve en même temps qu'une partie du pont. Cette demi-douzaine était constitué des soldats précédemment en première ligne des combats, à savoir Imrahil, Varamir, Cheu et Jolane, un fantassin expert de la hache et moi-même...

J'entendit des gros "plouf" et me dirigea en courant vers le pont je vis alors cette demi douzaine d'homme essayer d'échapper au flot...
Des uruk comencérent a leur tirer dessus...

Je pris mon arc elfique c'était le moment de le tester...
Je pris toute ma foirce et précision tira une fleche de mithril qui transperca un uruk qui tomba net!
*A ca vallait cher mais ca me sert*

Je tira une deuxieme fleche et un deuxieme uruk succomba...