Le maître de langues

Tien wilkfrid, voici le texte de la chanson, j'y ai passé la nuit entière
[je l'ai pensée toute la nuit, je n'ai pas pu dormir !] :

"Ce petit chemin,
Qui sens la noisette,
Me rappelle soudain
Ce beau jour de fête
Où quelques gredins
Me prenaient la têteeuhh !
Et comme chui bourrin,
JE LEUR PETE LA TETE !
je prend tout leur bien,
Leur or et leur (???????) (pas réussi à traduire, désolé)
Ah ! c'est tellement bien
de piller ces bètes.
Je n'oublierai point
Cette chansonneeeeeetteuuuuh
Du petit chemiiiiiiiiin
Qui sens la noiseeeeeeeeeeeeetteeeeeeuuuuuuuuh !!!!!!!!!!!!!!!!!!! "

Voila, j'ai trouvé ce poème très frais, très ... très elfe quoi !

Ah ! Euh ... j'oubliais, ça te feras 300 £. Par ici la monnaie (rire sadique de rapias).

tien voila tes 300£

Wilkfrid sort en marmonnant

bon-sang ses traductions deviennent de plus en plus chère

Et si tu apprenais l'elfe au lieu de me demander de tout traduire à chaque fois, tu verrais que ça te couterai moins cher !
Moi perso, ça m'arrange mais pour toi c'est pas la meilleure solution !
Sur ce merci pour ton don à l'école des langues ... (rire bref)

Wilkfrid remarque qu'Alucard ferait un trés bon musicien car il a une très bonne oreille

Je viens prendre les cours 2,3 et 4 en Sindarin. Maintenant je maîtrise parfaitement le Sindarin et le tout pour 8300 £.

J'ai trouvé un chant nain mélodiquement simpa donc j'ai décidé d'aprendre le nain parfètement c'est pour cela que je demande àmon ami alucard de m'aprendre cette langue
Niveau II + Niveau III + Niveau IV de la langue naine pour 5300£

Viens par la, tu va en baver.

Alucard se leva tot ce matin là, pour mettre un petit écritaux sur le devant de sa porte. On pouvait y lire :

"Je serais absent pendant une certaine période et n'assurerais donc plus les cours de langue ou les traductions. Pour tout problème, contacter Alandaïl qui pourra me remplacer en cas de problème majeur. Vous le trouverez surment à la taverne ou chez moi.

Bonne continuation"

Puis il partit faire ses petites courses avant son départ.

Bonjour cher maître des langues et néanmoins ami, je voudrais que tu me traduises une lettre de ma correspondante des terres de l'est. Je ne connais que son prénom, Aurora.

Eh bien, tu as beaucoup de correspondants l'ami. Ca va prendre du temps parce que je ne maitrise pas très bien les langages de l'est. Je demanderai sûrement de l'aide à Berethor, s'il est là.

salutation Alucard.

Je vien prendre des cours en Rohirric les 4 nivaux
et des cours en Sindarin les niveux 2,3 et 4



voila tes 18100£

Wilkfrid arriva chez le maitre des langues pour savoir où il enétait avec ma traduction. mais il arriva juste au moment où le maître tourna la clef dans la serure.

Je voudrais prendre des cous dans les langues suivantes:
-Langue traditionnelle rohirrim
-Haradrim
-Quenya

Alucard était en train de vérifier son matériel dans cette belle matinée ensoleillée.

*Une bonne journée pour une randonnée à vrai dire ...*

Il souffrait encore, même après une bonne semaine de repos sans rien faire d'autre que dormir ou se nourrir, des courbatures du féroce entraînement de Varamir qui avait duré trois semaines.
Il faut avouer que c'est un très bon entraîneur que ce soit pour le combat direct que pour monter un cheval, Varamir était un entraîneur hors paire. Mais il était particulièrement sévère : alors qu'Alucard était tombé plusieurs fois de suite de son cheval la première semaine, Varamir l'obligeait à continuer tant qu'il ne serait pas parvenu à maitriser cette notion de base. Et je ne parle même pas du temps qu'il lui a fallut pour réussir à monter correctement dessus sans même que la monture ne bougeat.
Alucard était une vrai catastrophe en matière de cavalier.

*J'ai bien choisi ma voie en entrant dans l'infanterie* se répétait-il plusieurs fois dans sa tête pendant les moment durs de l'entrainement.

Finalement Varamir avait fait des merveilles avec lui. Et maintenant Alucard savait parfaitement manipuler un cheval. Il ne lui manquait plus que deux choses désormais : un canasson et l'expérience du combat rapproché, et Alucard avait très hâte de découvrir les deux.

Alucard avait attaché le cheval, que Jolane lui avait loué, près de la porte de sa classe. A coup sûr Alandaïl était encore à la taverne en train de dormir. Il chargea le paquetage sur sa monture et prit grand soin de tout fixer et de vérifier plusieurs fois de suite. Un excès de soin qui serait sûrement récompensé plus tard.
Une fois qu'il eut passé trois heures à tout vérifier, Alucard grimpa sur le dos de son cheval et s'en fut au petit trôt chez Wilkfrid.